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Garde l'énergie. Gagne la confiance.

Le capital confiance, c’est un cadeau. Ne la gâche pas. Cette note te montre comment garder l’énergie, gagner la confiance dès le départ, et concevoir des workshops qui marchent vraiment.

La plupart des workshops commencent avec un truc précieux :
LE CAPITAL CONFIANCE.

Les gens arrivent avec l’envie d’y croire.
Ils t’écoutent. Te font confiance.
Ils te donnent leur attention,
à toi de la transformer en quelque chose qui compte.

Mais ce capital ne tient pas tout seul.
Il s’use.
Et si tu le consommes trop vite,
sans rien rendre en retour,
tu perds la salle.

Pense au CAPITAL CONFIANCE comme à un carburant :

Tu le brûles quand tu fais perdre du temps.
Intros à rallonge. Icebreakers qui tournent à vide.
Exercices sans vrai lien avec le sujet.
Les gens ne le disent pas,
mais ils décrochent.

Tu le regagnes à chaque fois que tu offres quelque chose de vrai.
Une idée claire. Une prise de conscience. Un changement de perspective.
Un “A-HA” qui claque.

Le contrat tacite d’un workshop est simple :
“On te donne notre attention.
Tu nous fais avancer.”

Si tu demandes trop sans rien offrir,
la confiance s’effrite.
L’énergie retombe.
Tu les perds.

La seule façon de garder la confiance :
Donner de la valeur. Rapidement. Régulièrement.

Pas plus tard.
Pas après ton intro.
Tout de suite.
Au tout début.

Dès que les gens sentent que ça vaut le coup,
ils sont là. Curieux. Engagés.
Même quand tu leur proposes des bizarreries.
Parce qu’ils ont compris :
“Ça va quelque part.”

Mais si l’énergie est basse,
tout devient lourd.
Moins d’attention. Moins d’écoute.
Plus de scroll que de post-its.

Et la solution, c’est pas une blague pour détendre l’ambiance.
C’est un design qui tient la route.

Un design qui commence avant les slides, avant les jeux, avant les exercices, avant les détails.
Par les fondations.
Par ce qu’on appelle : L’OSSATURE DU WORKSHOP.

Pose-le correctement,
et tout le reste se met en place.

Merci.
Et Free Palestine.